Série Contes

Conte n°1 : Les fées. Perrault met en scène deux soeurs, dont l'une ne profère que des paroles désagréables (les crapauds et les vipères), alors que le discours de l'autre révèle sa bonté et sa douceur.

Conte n°2 : La femme squelette. Conte inuit raconté par Pinkola Estès. Il s'agit de la partie féminine d'un homme que son père a tuée dès son enfance.

Conte n°3. L'amant véritable. Henri Gougaud. Ce conte perse, très court, suggère une spiritualité fondée sur l'union intérieure entre le masculin et le féminin.

Conte n°4. Le rêve. Encore Henri Gougaud. Un vagabond rêve qu'il visite un merveilleux palais, alors qu'il ne s'agit que d'une grosse mouche qui tourne dans un crâne de cheval... Mise en scène pertinente des méfaits de l'ego, lorsqu'il prend la direction de la vie d'un être humain.

Conte n°5. Les enfants de Cristal. Cette fois, c'est le contraire : Un rêve véritable qui ressemble tant à un conte que je l'ai mis dans cette série. La rêveuse est à la recherche de la moitié d'elle-même, symbolisée par un diamant qu'un homme lui a volé.

Conte n°6. La princesse sur un pois, d'Andersen, illustre à la prefection la susceptibilité incarnée - et donc l'ego et ses ravages les plus courants.

Conte n°7. Légende hindoue. Conte spiritualiste, qui affirme très fort que ce que l'homme recherche depuis toujours se trouve à l'intérieur de lui-même : c'est le pouvoir divin, ce pouvoir qui le rendrait enfin heureux. Mais qu'est-ce qui se trouve à l'intérieur de lui, et qui lui est spécifique, sinon son humanité, justement ?